Sur les murs, des fresques, en partie effacées par le temps, mettent en scène des hommes et des femmes massacrés et décorés par des créatures évoquant autant l'humain que l'araignée. Une porte conçue dans un métal très sombre bloque le corridor, à l'est. Une demi-douzaine de symboles sont incrustés dans le portail.